Oslo: La production de pétrole de la Norvège a reculé nettement moins que ce qui était attendu en septembre, à 1,543 million de barils par jour (mbj), a indiqué mercredi la Direction norvégienne du pétrole.Ce chiffre dépasse de 12% les pronostics officiels, même s'il traduit un repli par rapport à août, quand la production s'était élevée à 1,556 mbj.
Sur un an, cela représente une augmentation de 4,8%.
Les ventes de gaz naturel se sont aussi un peu érodées, à environ 9,3 milliards de m3 en septembre, contre 9,6 milliards de m3 le mois précédent.
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Mercredi 6 novembre 2024 L'élection de Donald Trump, qui s'est félicité en déclarant : "Nous avons plus d'or liquide que n'importe quel pays dans le monde. Plus que l'Arabie saoudite ou la Russie", annonce une nouvelle impulsion pour l'exploitation pétrolière américaine, avec la promesse de "forer à tout va" et de stimuler l'économie énergétique du pays.
Ormuz: La menace d'une perturbation dans le détroit d'Ormuz, l'une des voies de transit pétrolier les plus stratégiques au monde, refait surface alors que la tension géopolitique entre Israël et l'Iran s'intensifie. Un éventuel blocus iranien de cette voie maritime cruciale, reliant le golfe Persique à la mer d'Arabie, pourrait entraîner une flambée des prix du pétrole, dépassant facilement les 100 dollars par baril, préviennent les analystes.
New York: Les analystes de Citi, l'une des plus grande institution financière au monde, prévoient une chute significative des cours du pétrole d'ici 2025, anticipant que le prix du baril de Brent descendra à 60 dollars, soit une diminution de plus de 20 % par rapport aux prévisions actuelles.
Analyse: Le marché pétrolier mondial fait face à une conjoncture marquée par des incertitudes croissantes et des perspectives économiques contrastées. Alors que l'Arabie saoudite, leader de l'OPEP et premier exportateur mondial de brut, se prépare à renverser sa stratégie en augmentant sa production, les analystes restent prudents quant à l'évolution des prix et à l’équilibre entre l'offre et la demande.
Analyse: En dépit des tensions grandissantes au Moyen-Orient, l'augmentation des cours du pétrole reste contenue, Téhéran et Washington n'ayant aucun intérêt…