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💶 Pétrole : maintien des financements, grâce aux rendements

Analyse: Selon l’Agence internationale de l’énergie, les scénarios d’élimination du pétrole et du gaz (et la neutralité en émissions de carbone) requiert bien plus d’investissements dans les renouvelables et réseaux d’électricité...
Le graphique ci-dessous montre les financements en 2021 et les besoins d’investissements à 2030, pour pétrole, gaz, et charbon (colonnes jaune), et pour les renouvelables et technologies comme l’hydrogène et les batteries (en orange).

Comme vous le voyez ci-dessous, les investissements dans les renouvelables dépassent même les investissements dans la production d’énergies fossiles depuis 2018.

En dépit de la pression contre le pétrole, le gaz, et le charbon, le secteur conserve un accès aux financements.

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🇫🇷 Le graphique ci-dessous, de la Banque de France, montre l’impact des mesures.

En gros, les assurances - sous pression de régulations - vendent les actifs dans le domaine de l’énergie (comme les obligations ou actions de producteurs de pétrole, par exemple). Par contre, d’autres type d’acteurs - comme les fonds d’investissements et les banques - prennent la relève.


En dépit de changements aux méthodes de financements, les producteurs conservent l’accès à des fonds et crédits.

▶️ L’Humanité :
Quelque 68,2 milliards de dollars, soit 63 milliards d’euros : c’est la somme que les grandes banques françaises ont consacrée à l’expansion des énergies fossiles entre 2021 et 2023, selon le rapport mondial de huit organisations, paru lundi 13 mai.

▶️ Selon le rapport, des banques comme BNP Paribas baissent un peu les financements, mais ne changent pas la donne :
BNP Paribas, en tête avec 24,2 milliards de dollars, a néanmoins diminué ses financements aux grandes entreprises pétrolières et gazières. Les banques françaises, précise le rapport, soutiennent à hauteur de 29,7 milliards de dollars des entreprises comme TotalEnergies, Eni, ou encore Saudi Aramco, faisant de la France leur deuxième plus gros financeur.

Grâce aux rendements sur la production de pétrole et de gaz - la source de 218 milliards $ de dividendes entre 2022 et 2023 -, le secteur conserve le soutien de financiers et d’investisseurs.

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(c) Henry Bonner avec Prixdubaril.com

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