Londres: Les cours du pétrole sont en légère hausse mardi, renforçant les gains de la veille, du fait des tensions géopolitiques, notamment au Venezuela, qui surpassent les craintes de surplus d'offre du marché.
Cours de clôture: Les cours du pétrole ont progressé lundi, le marché estimant que les négociations sur une résolution de la guerre en Ukraine restaient pour le moment sans effet et pourraient se prolonger.
Carburants: Les prix des carburants repartaient en forte hausse la semaine passée, tout en demeurant à des plus bas depuis trois ans, tandis que la moyenne des cours de clôture du pétrole Brent sur la même période était en baisse à 61.82$, toujours bien en dessous de sa moyenne de 2024 de 80,52$.
Londres: Le pétrole monte lundi, le marché n'entrevoyant pas encore la fin des négociations sur une résolution de la guerre en Ukraine, après la rencontre en Floride dimanche entre le président Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky.
Cours de clôture: Les cours du pétrole ont cédé du terrain vendredi, la perspective d'une rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky réduisant la prime de risque géopolitique appliquée par le marché.
Cours de clôture: Les cours du pétrole sont restés sans mouvement notable mercredi, dans un marché peu fréquenté à la veille de la fête de Noël, les risques géopolitiques étant contrebalancés par les craintes d'un trop-plein de brut.
Mercredi 17 décembre 2025 Après avoir enfoncé mardi la barre des 60 $ et clôturé à 58,92 $ (-2,71%, moyenne hebdo : 59,74 $), soit un plus bas depuis février 2021, le cours du pétrole Brent rebondissait mercredi en début d’après-midi à 59,93 $ (+1,71%), soit +1,01 $ par rapport à la clôture de mardi mais encore -0,63 $ sous les 60,56 $ de lundi, tandis qu’en toile de fond le WTI cédait environ 8% en une dizaine de jours.
Washington: Un surplus dans la production de pétrole devrait entraîner une chute du prix des matières premières à un niveau inédit depuis cinq ans, a affirmé mardi la Banque mondiale.
Paris: Un nouveau choc pétrolier pourrait se produire en cas de dégradation de la situation au Proche-Orient, d'où proviennent un tiers des exportations mondiales d'or noir, a souligné mardi le directeur de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol.
Ormuz: La menace d'une perturbation dans le détroit d'Ormuz, l'une des voies de transit pétrolier les plus stratégiques au monde, refait surface alors que la tension géopolitique entre Israël et l'Iran s'intensifie. Un éventuel blocus iranien de cette voie maritime cruciale, reliant le golfe Persique à la mer d'Arabie, pourrait entraîner une flambée des prix du pétrole, dépassant facilement les 100 dollars par baril, préviennent les analystes.