Le pétrole se tasse, sapé par un possible cessez-le-feu à Gaza
Le prix du baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. de la mer du Nord pour livraison en septembre s'est effrité de 0,43%, pour clôturer à 85,03 dollars.
Le baril de West Texas Intermediate (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.) américain, avec échéance en août, a lui cédé 0,49%, à 82,21 dollars.
L'or noir a longtemps évolué dans le vert, le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. gagnant jusqu'à 1,35%, avant de fléchir en fin de séance.
"Il y a encore du travail et ces questions sont complexes", a écrit le chef de l'Etat américain sur X (ex-Twitter), mais "mon équipe enregistre des progrès".
"L'instabilité au Moyen-Orient a joué dans la hausse récente des cours", a rappelé Bart Melek, "et maintenant, on voit ces gains se dissiper".
Pour l'analyste, la prime de risque géopolitique ajoute encore aux prix du Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. "entre 3 et 5 dollars" le baril.
En outre, les opérateurs observent la croissance de la demande de brut ralentir progressivement.
Jeudi, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a légèrement abaissé sa prévision de demande pour 2025, une décision justifiée par la décélération de la croissance mondiale, des progrès dans l'efficacité énergétique et la montée en puissance des véhicules électriques.
Le repli des cours vendredi a été limité par le fléchissement du dollar, devise la plus utilisée pour le commerce du pétrole, ainsi que par les espoirs d'une baisse du taux directeur de la banque centrale américaine (Fed) en septembre, de nature à stimuler la demande.
Autre facteur de soutien, selon Derren Nathan, analyste d'Hargreaves Lansdown, les anticipations de nouvelles mesures de soutien à l'économie par le gouvernement chinois car les derniers chiffres d'importation ont confirmé la santé fragile de la demande intérieure chinoise.
(c) AFP