Le pétrole commence la semaine dans le rouge
Vers 10H30 GMT (11H30 HEC), le baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. de la mer du Nord pour livraison en mai valait 25,74 dollars à Londres, en baisse de 4,60% par rapport à la clôture de vendredi.
A New York, le baril américain de WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. pour mai, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, perdait 0,80%, à 22,46 dollars.
La semaine passé, il avait chuté de près de 30% quand le Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. avait perdu près de 20% de sa valeur.
"Les prix du pétrole sont de nouveau sous pression" lundi alors que "le bras de fer se poursuit entre l'Arabie saoudite et la Russie", a expliqué Naeem Aslam, d'Avatrade.
Les deuxième et troisième producteurs mondiaux sont engagés dans une guerre des prix après l'échec des négociations entre membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et alliés pour réguler l'offre d'or noir au début du mois à Vienne.
Si le président des États-Unis Donald Trump a proposé sa médiation jeudi, inquiété par des prix qui s'enfoncent sous le seuil de rentabilité des producteurs américains, les investisseurs "doutent" de sa capacité à ramener Ryad et Moscou à la raison, selon Edward Moya, de Oanda.
"Pendant ce temps, la consommation mondiale de pétrole recule de plus en plus" sous l'effet des mesures prises pour endiguer la propagation fulgurante de Covid-19, a rappelé Stephen Brennock, de PVM.
(c) AFP