Le pétrole new-yorkais bondit, rassuré par les possibles coupes de l'Opep
Le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie., baril de référence aux États-Unis, pour livraison en avril, a terminé en nette hausse de 4,4% ou 1,99 dollar, à 46,75 dollars.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai est lui monté de 4,5% ou 2,23 dollars à 51,90 dollars à Londres.
Les deux cours de référence avaient d'ailleurs commencé la séance de lundi en repli: dans la nuit de dimanche à lundi, le Brent a touché un plus bas depuis juillet 2017 à 48,40 dollars le baril, quand le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. s'est enfoncé à 43,32 dollars, un prix plus vu depuis le mois de décembre 2018.
Mais la spirale baissière n'a été que de courte durée, le Brent et le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. rebondissant rapidement "sous l'effet des spéculations sur des coupes supplémentaires des pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep)", a estimé David Madden, de CMC Markets.
Les membres de l'Opep et leurs partenaires, emmenés par la Russie, se retrouvent jeudi et vendredi à Vienne pour décider des mesures appropriées afin d'enrayer la chute des cours du brut à l'oeuvre depuis le début de l'année.
Ce mouvement s'est accéléré à mesure que l'épidémie de pneumonie virale, qui pèse sur la demande mondiale en or noir et dont le bilan a dépassé lundi les 3.000 morts dans le monde, se propageait.
Les prix pétroliers ont également profité lundi des messages envoyés par plusieurs banques centrales, dont celles du Japon et des États-Unis, qui se sont dites prêtes à intervenir en cas de ralentissement durable de l'économie mondiale à cause du coronavirus.
(c) Afp