Le pétrole limite ses pertes en cours de séance
Vers 16H40 GMT (17H40 HEC), le baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. de la mer du Nord pour livraison en mars valait 64,73 dollars à Londres, en baisse de 0,71% par rapport à la clôture de lundi.
La veille, le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. a fini stable et le Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. a gagné 0,54%, porté par les risques pesant sur l'offre mondiale d'or noir à la suite du blocage depuis samedi des principaux terminaux pétroliers de l'est du territoire libyen.
Cette action menée par les forces loyales au maréchal Khalifa Haftar a provoqué la chute des exportations d'or noir, qui représentent 1,3 million de barils par jour, à la veille d'un sommet international à Berlin qui a accouché d'un cessez-le-feu précaire.
Mardi, l'ambassade des États-Unis a appelé à la reprise "immédiate" des opérations pétrolières dans ce pays, une pression qui "soutient" la sensible reprise des cours du brut depuis lors, selon Tamas Varga, de PVM.
Plus tôt dans la journée à la tribune du 50e Forum économique mondial de Davos, en Suisse, le président américain Donald Trump "a confirmé que les États-Unis ne dépendaient plus de pétrole venant de l'étranger", a retenu Naeem Aslam, de Avatrade.
A l'inverse, ces propos sont selon l'analyste plutôt de nature à faire pression sur les prix car ils réduisent le niveau d'inquiétude pesant sur l'offre.
De plus, "les informations sur une possible nouvelle épidémie en Chine relancent les craintes sur la demande", avait expliqué plus tôt dans la journée Eugen Weinberg, de Commerzbank.
La Chine a recensé mardi 77 nouveaux cas d'un nouveau virus semblable au Sras, portant le total à près de 300. La maladie a déjà provoqué la mort de six personnes.
(c) AFP