Le pétrole perd du terrain après les stocks de brut américains
Vers 16H40 GMT (17H40 HEC), le baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 63,65 dollars à Londres, en baisse de 0,96% par rapport à la clôture de mardi.
Plus tôt dans la journée, peu avant 12H00 GMT, le Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. avait atteint un plus haut depuis le 24 septembre, à 64,60 dollars le baril.
Les prix ont décroché à la publication des chiffres sur les stocks de pétrole aux États-Unis de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) pour la semaine achevée le 22 novembre.
L'EIA a fait état d'une augmentation de 1,6 million de barils des réserves commerciales de brut, là où les analystes interrogés par l'agence Bloomberg anticipaient une baisse de 878.000 barils.
"Ce sont plus encore les stocks d'essence qui ont fait réagir les investisseurs", a commenté David Madden, analyste de CMC Markets.
Ces derniers ont augmenté de 5,1 millions de barils, bien plus que prévu par les analystes qui tablaient sur une hausse de 800.000 barils.
Le président américain Donald Trump a notamment souligné mardi ses bonnes relations avec son homologue chinois Xi Jinping, évoquant "la dernière ligne droite avant de parvenir à un accord très important, peut-être l'un des accords commerciaux les plus importants de l'histoire".
"Les prix du pétrole continuent de profiter de l'optimisme qui gagne les acteurs de marché sur un accord commercial (partiel) imminent entre les États-Unis et la Chine", avait estimé Carsten Fritsch, analyste chez Commerzbank, plus tôt dans la journée.
(c) AFP