Londres: L'Arabie saoudite a comblé environ aux trois quarts sa perte de production de pétrole liée au bombardement de deux de ses installations le 14 septembre et elle aura complètement renoué avec ses volumes de production en début de semaine prochaine, a déclaré lundi à Reuters une source informée de l'évolution de la situation.La production sur le site de Khouraïs dépasse désormais 1,3 million de barils par jour et celle du site d'Abkaïk est d'environ 3 millions de bpj, a dit la source.
Les attaques sur ces deux sites ont réduit de plus de moitié, soit 5,7 millions de bpj, la production de pétrole de l'Arabie saoudite.
Ryad: Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé mardi une baisse de 15% de son bénéfice net par rapport à la même période de l'année dernière, en raison de la faiblesse des prix du pétrole.
Ryad: Les États du Golfe s’efforcent de protéger leurs infrastructures pétrolières dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et l’Iran. Alors...
Ryad: L'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, traverse une période cruciale où les fluctuations des prix du brut et les réductions...
Londres: Les prix du pétrole remontent légèrement mardi, emportés par un léger optimisme précédant les fêtes de Noël, période d'échanges réduits sur...
Washington: La guerre entre Israël et le Hamas, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre, pourrait provoquer un nouveau choc de prix sur les matières premières, a alerté lundi la Banque mondiale (BM), dans son dernier rapport qui y est consacré.
Le prix du baril de pétrole a dépassé les 100 dollars jeudi pour la première fois en plus de sept ans, après que le président russe Vladimir Poutine a annoncé une "opération militaire" en Ukraine. Retour sur les précédents épisodes lors desquels le baril a franchi le seuil symbolique des 100 dollars.
Paris: Un nouveau choc pétrolier pourrait se produire en cas de dégradation de la situation au Proche-Orient, d'où proviennent un tiers des exportations mondiales d'or noir, a souligné mardi le directeur de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol.
Analyse: En dépit des tensions grandissantes au Moyen-Orient, l'augmentation des cours du pétrole reste contenue, Téhéran et Washington n'ayant aucun intérêt…