Les cours du pétrole grimpent de 10% après les attaques en Arabie saoudite
Vers 02H10 GMT, le baril de "light sweet crude" (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.), référence américaine du brut, pour livraison en octobre, gagnait 5,38 dollars, soit 9,81% à 60,23 dollars, dans les échanges électroniques en Asie.
Le baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. de la mer du Nord, référence européenne, pour novembre, prenait lui 6,65 dollars, soit 11,04% à 66,87 dollars.
Lundi, le Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. a brièvement gagné jusqu'à près de 20%, tandis que le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. a gagné jusqu'à 15%.
Les États-Unis se sont déclarés dimanche "prêts à riposter" aux attaques de drones.
Le président américain Donald Trump a également annoncé dimanche avoir autorisé l'utilisation de réserves stratégiques américaines de pétrole si besoin, pour compenser la baisse de production de l'Arabie saoudite.
Samedi, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo avait affirmé qu'il n'y avait aucune preuve que cette "attaque sans précédent contre l'approvisionnement énergétique mondial" soit venue du Yémen, accusant l'Iran d'être à l'origine de l'attaque et assurant que les États-Unis allaient oeuvrer pour assurer l'approvisionnement des marchés.
Téhéran a jugé ces accusations "insensées" et "incompréhensibles", par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abbas Moussavi, qui a laissé entendre qu'elles avaient pour but de justifier "des actions futures" contre l'Iran.
(c) AwP