Le pétrole continue de baisser en Asie
Vers 03H20 GMT, le baril de "light sweet crude" (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.), référence américaine du brut, pour livraison en juillet, cédait 13 cents à 53,12 dollars dans les échanges électroniques en Asie.
Le baril de Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole., référence européenne, pour août, reculait de 26 cents à 61,02 dollars.
A Londres, le Brent BRENT Le Brent ou brut de mer du nord, est une variation de pétrole brut faisant office de référence en Europe, coté sur l'InterContinentalExchange (ICE), place boursière spécialisée dans le négoce de l'énergie. Il est devenu le premier standard international pour la fixation des prix du pétrole. avait plongé lundi à 61,28 dollars, son plus bas depuis la fin du mois de janvier, tandis qu'à New York, le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. avait reculé à 53,25 dollars, son plus bas depuis la mi-février.
"Les prix du brut se sont effondrés davantage car les investisseurs sont de plus en plus préoccupés par le climat économique, et ce en raison des tensions commerciales grandissantes", a indiqué ANZ Bank dans une note.
L'activité des usines aux États-Unis, en Europe et en Asie a ralenti le mois dernier et certains craignent un ralentissement encore plus marqué avec l'entrée en vigueur de nouveaux tarifs douaniers.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a laissé entendre par la voix du ministre saoudien de l'Energie Khalid Al-Falih qu'elle pourrait décider de nouvelles baisses de production. Mais l'attention des investisseurs se porte davantage sur les perspectives moroses pour l'économie mondiale qui risquent de plomber la demande en pétrole.
(c) AwP