Le pétrole repart en baisse avec le rebond du dollar
Vers 15H00 GMT (16H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 60,56 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,12 dollar par rapport à la clôture de jeudi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.) pour la même échéance cédait 90 cents à 51,69 dollars une heure après son ouverture.
Alors que le billet vert avait commencé la journée en berne, vers 09H40 GMT, le Brent a atteint son plus haut en un mois à 62,49 dollars, tandis que le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. avait également grimpé à son plus haut en un mois à 09H25 GMT, à 53,31 dollars.
Les investisseurs ont repris goût pour les actifs plus risqués, comme le pétrole, alors que les négociations à Pékin sur les tensions commerciales entre la Chine et les États-Unis semblent s'être déroulées sans accroc en début de semaine.
Le marché restait également focalisé sur l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole), qui a promis avec ses partenaires de réduire ses exportations d'or noir début décembre.
L'Arabie saoudite, tête de file de l'Organisation, a annoncé mercredi compter réduire ses exportations en janvier et en février.
"Le meurtre (du journaliste saoudien Jamal) Khashoggi ne fait plus les gros titres, donc le royaume retourne à la normale, ce qui inclut réduire sa production pour soutenir les prix", a estimé Olivier Jakob, analyste chez Petromatrix.
(c) AFP