Le pétrole continue de monter en Asie
Vers 05H30 GMT, le baril de light sweet crude (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.), référence américaine du brut, pour livraison en février, prenait 25 cents à 64,22 dollars dans les échanges électroniques en Asie.
Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en mars, s'appréciait de 16 cents à 69,54 dollars.
Ce recul est supérieur à la baisse de 3,588 millions de barils attendue par les marchés et témoigne d'une demande américaine solide.
"Cela confirme que les stocks se contractent à un rythme beaucoup plus rapide que prévu par les marchés", a déclaré Stephen Innes, analyste chez Oanda.
Si le ministère américain de l'Energie (DoE) confirme la tendance jeudi, "le discours sur les tendances haussières de la demande s'en trouverait nettement conforté".
Greg McKenna, analyste chez AxiTrader, ajoute que les investisseurs vont aussi être attentifs aux données sur la production américaine de pétrole de schiste.
Les cours de l'or noir ont grimpé au cours des derniers mois, sous l'effet des efforts de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de ses dix partenaires, dont la Russie, qui se sont engagés à limiter leur production pour rééquilibrer le marché mondial.
Mercredi, le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. a gagné 24 cents pour clôturer à 63,97 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, le Brent a terminé à 69,38 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres.
(c) AFP