Le pétrole en légère hausse avec le dollar faible
Vers 10H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 54,76 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 27 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.) pour le contrat d'octobre cédait 20 cents à 48,89 dollars.
Le dollar, affaibli par des indicateurs économiques américains décevants, est la monnaie de référence des cours du baril, et son manque de vigueur profite aux investisseurs utilisant d'autres devises pour acheter du brut.
En revanche, le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. évolue en légère baisse pour la deuxième séance consécutive, alors que les réserves américaines ont augmenté en raison de la perturbation de l'activité des raffineries.
"La situation commence à s'inverser. Les raffineries ont été immobilisées par Harvey, mais si les tempêtes se concentrent désormais sur le golfe du Mexique, ce sont les puits qui ne vont plus pouvoir produire", a cependant estimé Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.
Les analystes décortiquaient par ailleurs les données des agences financières sur la production de pétrole de l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole).
"Il n'y a pas de consensus entre Platts, Reuters et Bloomberg sur le chiffre exact de production. En revanche, il apparaît que la production a reculé d'un mois sur l'autre, pas tant à cause des efforts des pays qu'à cause de la perturbation des extractions en Libye", a noté Tamas Varga, analyste chez PVM.
(c) AFP