Le pétrole monte, soutenu par le dollar et la Chine
Vers 10H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre valait 48,65 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 23 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie.) pour le contrat d'août gagnait 22 cents à 46,30 dollars.
"Le WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. comme le Brent ont été aidé par la petite santé du dollar, mais il faut noter que la hausse de la production, aussi bien aux Etats-Unis que pour l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole), met un plafond aux prix qui ne dépassent pas les 50 dollars", a noté Michael van Dulken, analyste chez Accendo Markets.
La faiblesse du dollar, qui sert de monnaie d'échange au WTI WTI Le West Texas Intermediate (WTI), aussi appelé Texas Light Sweet, est une variation de pétrole brut faisant office de standard dans la fixation du cours du brut et comme matière première pour les contrats à terme du pétrole auprès du Nymex (New York Mercantile Exchange), la bourse spécialisée dans l'énergie. comme au Brent, rend le pétrole plus attractif pour les investisseurs utilisant d'autres devises pour en acheter.
"Les craintes de surproduction ont été passées sous le tapis car les acteurs de marché se sont focalisés sur la demande chinoise qui grimpe", a expliqué Tamas Varga, analyste chez PVM.
"Les dernières données des douanes chinoises montrent que la soif d'or noir est insatiable, avec une hausse des importations au premier semestre de 14% par rapport au premier semestre 2016 à 8,55 millions de barils par jour", a-t-il détaillé.
"Le rebond des prix intervient malgré la hausse de la production américaine, une plus faible adhérence des pays de l'OPEP à leur accord de limitation de la production et un rapport plutôt pessimiste de l'Agence Internationale de l'Energie. L'AIE a pointé du doigt les productions de la Libye, du Nigeria, de l'Algérie et de l'Irak qui ont grimpé en juin", a prévenu Michael Hewson, analyste chez CMC Markets.
Des représentants des pays engagés dans l'accord se réuniront fin juillet à Saint-Pétersbourg.