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L'euro chute, achetez le pétrole

Protégez votre patrimoine… et mettez-vous en position… pour une déferlante de profits en lien aux énergies “détestées” par la presse et les dirigeants…


Je m’appelle Henry Bonner.

Je vous écris suite à un partenariat spécial, que je viens d’effectuer avec le site PrixDuBaril, qui vous transmet ce message…

En effet… depuis plusieurs années… j'informe les Français des risques pour leurs patrimoines… et d’opportunités de profit… dans la Bourse ou d’autres actifs.

Et l’un des secteurs que nous recommandons depuis notre lancement - peu après le trauma des confinements - est le pétrole

…un secteur qui nous a permis de faire des gains de centaines de pourcents - de la production, au transport, à des paris sur la perte de capacités de raffinage sur le continent (la France perd environ 700.000 barils de capacités de raffinage depuis 1998, par exemple)…

Et je vous écris aujourd’hui pour vous expliquer pour quelles raisons le marché français de l’énergie nous réserve des surprises de forte ampleur

Ce qui peut à la fois entraîner des revers pour beaucoup de gens, et des opportunités de profit pour votre portefeuille.

J’aimerais vous envoyer une série de dossiers spéciaux et d’interviews avec des experts en matière d’énergies - et d’investissement

Le tout pour vous aider à préparer votre portefeuille pour les incertitudes et retombées d’une crise à l’horizon, en lien à l’énergie, et au sort de l’économie de la France au global.

L’ensemble de dossiers et d’informations que j’aimerais vous envoyer… dès aujourd’hui… contient :

*** Une interview exclusive que j’ai faite avec un expert en énergies… plus gros actionnaire d’un fonds américain avec 10 milliards $ sous gestion… et ex-investisseur dans le pétrole pour Goldman Sachs

*** Une interview avec l’auteur de nombreux livres sur l’économie de la France… une ex-ingénieure qui a prévenu de la crise de 2008

*** Une série de dossiers spéciaux qui vous détaillent des opportunités de profit dans les énergies en ce moment

Et bien plus…

Vous recevrez tous ces dossiers et informations de manière offerte… totalement gratuite.

Pour les recevoir, vous devrez me rejoindre dans un petit club fermé de lecteurs qui suivent nos analyses. Je vous en donnerai les détails un peu plus loin.


🛢️ Recevez l'ensemble de nos dossiers dès maintenant

Vous pourrez vous désinscrire à tout moment.


Les abonnés à mon cercle bénéficient du travail d’un groupe d’experts sans comparaison avec ce que j’ai pu voir ailleurs…

Par exemple…

Lorsque vous pensez aux profits des énergies… vous pensez peut-être aux producteurs tels que Exxon, TotalEnergies, ou BP…

Mais mon équipe a dégagé des centaines de pourcents de gains - non pas avec des placements sur la production de pétrole, ni l’exploration - mais avec une partie de la chaîne à laquelle vous n’avez peut-être jamais pensé

Et le mieux : ces types d’entreprises gagnent parfois des profits records, même lorsque le prix du baril de pétrole fait du surplace ou subit une baisse

Mais avant de vous présenter plus en détail ce que je propose… j’aimerais vous rappeler un ou deux faits au sujet du secteur de l’énergie… en particulier le pétrole

Voyez : les quelques dernières années - depuis 2020 en somme - ont produit une situation sans précédent pour l’industrie

La raison des “super-profits”


Les “super-profits” - raison de l'indignation des médias - atteignent la stratosphère depuis 3 ans…

Le secteur bénéficie d’une manne de profits, hors de toute attente (je vous en rappelle les chiffres dans un instant)…

La vague de “super-profits” découle non pas d’une décision en particulier des entreprises… mais plutôt d’une série de choix, dont je vais vous présenter l’importance…

De plus, je vous montrerai pourquoi… au lieu de rentrer dans la norme… la situation dans l’énergie cache encore beaucoup d’écueils et de surprises… et bien plus de ‘super-profits’ pour certains… peut-être dès les prochains mois.

Mon but avec ce message est de vous présenter les opportunités que je pense les mieux adaptées pour profiter de la formation de pénuries… et la perte d’offre des énergies traditionnelles - en particulier le pétrole - par rapport à la demande.

Mon groupe tente d’évaluer les opportunités dans les marchés… afin de trouver les manières de transformer les déboires des interventions en gains en portefeuille pour nos abonnés.

Parmi les dossiers que je vous enverrai tout de suite, vous aurez les détails d’une manière précise de parier sur le potentiel du pétrole et du gaz… qui, selon nous, ont le vent en poupe - malgré les déclarations de la presse.

Nous prêtons aussi attention à d’autres secteurs et types d’activités dans l’économie, mis à part les énergies et le pétrole…

Par exemple, les banques et assurances - face à l’envolée des taux d’intérêts…

Les placements dans l’or et les minières (je vous enverrai un dossier spécial sur comment vous placer sur le métal)…

Les paris sur les réseaux de transport - qui permettent d’emmener des biens depuis les usines d’Asie vers les consommateurs en Amérique du Nord ou en Europe…

Et bien sûr… mon équipe suit de près les événements dans la géopolitique… en particulier quand ils touchent la valeur des devises… ou encore le fonctionnement des économies.

Je me fie à mon équipe d’experts pour analyser les retombées des confinements à travers le monde… la lutte contre les émissions de carbone… ou encore le gel des relations avec la Russie et la Chine…

…et je vous en livre les conclusions et les prévisions.

En bref… mon équipe suit les tendances dans l’économie, les choix des dirigeants, et les réactions des marchés… et surveille à la fois l’apparition de risques, et l’émergence d’opportunités de profit.

Vous en entendez peu parler dans la presse… mais les ondes de choc dans l’économie ont lieu avec de plus en plus de fréquence, en particulier depuis les 3 ou 4 dernières années.

Les guerres, l’envolée des prix, et les craintes pour la santé des banques font partie du rapprochement des chocs et de l'amplification des risques.

Et les répliques de ces chocs créent en ce moment de nouveaux déséquilibres dans les marchés…

Elles entraînent des pénuries - avec la possibilité de super-profits pour certains acteurs en particulier.

Après la faste, vient la famine.

D’autres secteurs, parmi les gagnants du confinement ou de la réouverture, rencontrent à présent des écueils - et menacent d’un naufrage.

Mon équipe d’analystes et moi-même suivons le déroulement des événements… en vue de profits élevés grâce aux dérèglements des dernières années.

Une série de dossiers - offerts - pour vous protéger, et vous positionner pour faire des plus-values. Je voudrais vous envoyer, ici et maintenant, une série de dossiers et d’informations au sujet de l’investissement et de la Bourse… avec des conseils que vous pouvez mettre en application avec votre argent.

Je vous enverrai tout ce dont vous avez besoin pour préparer votre portefeuille aux chocs… et vous placer avant les opportunités que nous prévoyons.

De cette manière, vous pourrez à la fois protéger votre patrimoine, et même profiter de plus-values, en dépit des remous.

Parmi les sujets que mon équipe suit de près en ce moment, vous avez par exemple…

*** Les cotations réussies de groupes de tech à des valorisations surélevées… que ce soit pour l’IA ou les applis de livraison…

*** Les décisions récentes de gros groupes de renoncer à plus d’investissement dans les éoliennes… en particulier en mer…

*** L’essor du photovoltaïque et comment un tsunami d’aides et subventions joue le plus gros rôle dans l’histoire…

*** La création de nouvelles taxes et restrictions sur la location de logements - au prétexte du climat…

*** La hausse du prix du baril de pétrole - et de la consommation d’énergies fossiles dans le monde -, en dépit des subventions des renouvelables… et objectifs pour les émissions de carbone…

*** Des taxes ou normes contre la concurrence des États-Unis ou de la Chine dans les voitures électriques ou les services de plateformes en ligne…

*** La réalité de la politique du gouvernement en matière de prix en magasins… et pourquoi les choix des dirigeants contribuent en réalité à une hausse des coûts de la vie pour les citoyens…

*** Les raisons à la panique sur les échanges de données des utilisateurs… et les tentatives de connivence entre le domaine de la technologie et les élus…

*** Les analyses de l’un des économistes les plus influents de l’Histoire, l’Écossais Adam Smith, et les critiques de la liberté d’entreprise et de commerce de nos jours…

*** Le problème de la relance de l’immobilier au moyen d’aides à l’emprunt… et la montée des risques pour l’euro…

*** Les raisons de l’inaction de la Banque centrale européenne au début de l’apparition des hausses de prix - et pourquoi le manque de réactivité peut entraîner plus de dégâts à l’euro avant la fin de l’année…

Et bien plus.
Je peux, en somme, vous envoyer les faits, chiffres, et tendances les plus importants que nous avons repérés, mon équipe et moi.

De plus, nous pouvons vous informer des opportunités les plus simples à exploiter, à notre avis, avec des conseils précis que vous pouvez mettre en application avec votre argent.

J’aimerais par exemple vous montrer un pari que nous comptons conserver parmi nos recommandations jusqu’en 2030… que nous nommons notre “transaction de la décennie.”

En effet, certaines de nos recommandations sur l’énergie dégagent à la fois des plus-values et des dividendes annuels à double-chiffres… grâce à l’extraction et la vente de pétrole.

Selon nous, la manne des profits n’a pas encore pris fin…

Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais en seulement trois années, de 2021 à 2023… l’industrie privée du pétrole mondial - représentée par 7 grands majors comme Total ou ExxonMobil - ont généré plus d’argent en profits que lors des 20 premières années de ce siècle.

Ces 7 entreprises ont gagné plus de 300 milliards $ de bénéfices en 3 ans !

Cette période a délivré plus de profits que toute autre période de l’Histoire, pour ces producteurs de pétrole.

Et selon mon équipe, l’effet d’aubaine n’a pas pris fin.

Une “nouvelle Opep”
et la pression contre la production de pétrole et de gaz


D’une part, le monde a souffert d’un repli des investissements dans la production de pétrole en lien aux confinements.

À présent, les entreprises rattrapent à peine le retard d’investissements sur l’exploitation de gisements.

D’autre part, une pression sans précédent, de la part des gouvernements, empêche l’exploitation d’un grand nombre de sources d’énergies et de gisements de pétrole dans le monde.

Vous pourriez même parler de la formation d’une “nouvelle Opep,” à côté du cartel des pays producteurs du Moyen-Orient.

Cette “nouvelle Opep”, tout comme la première, vise la restriction du nombre de barils de pétrole sur le marché.

Au lieu de protéger les intérêts financiers d’une poignée de pays, elle vise l'élimination des émissions de carbone.

Le projet de la “nouvelle Opep” revient à la réduction de la production d’énergies fossiles.

Elle souhaite aussi bien plus de subventions pour les remplaçants au pétrole - les renouvelables, le biogaz, ou l’hydrogène.

Selon mon équipe, le remplacement des énergies fossiles par les renouvelables a peu de chances de voir le jour de notre vivant.

Par contre, en raison des politiques sur le climat, les déficits des gouvernements grimpent sans cesse.

La France émet 270 milliards d’euros de dette en 2023, un record. Elle prévoit des émissions de 285 milliards d’euros de dette l’année prochaine.

L’injection de tant d’euros dans l’économie entraîne une chute de la valeur de l’euro… et mène à des hausses de prix - à la station-essence, ou en rayons de supermarché.

En somme, la pression des gouvernements mène à la réduction du nombre de barils sur le marché, et génère des hausses de prix.

Les normes mènent aussi à l’élimination d’une des industries dans l’énergie en Europe - le raffinage de pétrole en carburants comme le diesel, l’essence, ou le kérosène (pour les avions).

Les capacités de raffinage en France affichent une baisse d’un tiers - soit environ 700.000 barils par jour - depuis 1998.

Dans les documents spéciaux que je vous enverrai avec votre adhésion, vous verrez pour quelle raison les décisions des dirigeants en matière d’écologie mènent vers les pénuries d’énergies à terme…

Les organismes tels que le Forum international de l’énergie estiment qu’en réponse à la hausse de la demande mondiale de pétrole, le monde requiert des centaines de milliards de dollars d’investissements - par an - au-dessus des niveaux d’aujourd’hui pour le développement du pétrole.

Ainsi, l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergies dans le monde requiert l’apport de capitaux en quantités inédites.

Or, en même temps, les organismes comme la “nouvelle Opep”, les ONGs contre les émissions de carbone, et les gouvernements de la plupart des pays, font opposition à l’exploitation de gisements.

L’envolée des bénéfices des producteurs de pétrole a lieu en raison de la restriction de la production de pétrole - le résultat des mesures des gouvernements !

Vous suivez peut-être l’actualité en rapport aux objectifs sur le climat.

Le gouvernement vise une hausse de 70 milliards d’euros par an des dépenses en lien à l’élimination des émissions de carbone - par-dessus les niveaux d’aujourd’hui.

Vous avez par exemple des subventions à la création d’usines pour la fabrication de batteries, et la mise en place de nouvelles incitations pour la production d’hydrogène à base de renouvelables, ou de biogaz à base de déchets.

Dans chacun des cas, le développement en vue tient au paiement d’incitations - des subventions ou encore l’octroi de prêts à conditions favorables pour certaines types d’acteurs.

Une nouvelle étude de la part de chercheurs de l'Institut de Potsdam, appelle à 2.000 milliards d’euros de dépenses en plus sur le climat avant 2040, à l’échelle de l’Europe.

Les régulations incitent aussi les banques et investisseurs à l’achat d’obligations ou de titres sur des projets d’éoliennes ou photovoltaïques.

Ainsi, l'ensemble des aides et des normes mène à l’émergence d’industries sans rentabilité - et en besoin de subventions, à coup de déficits des gouvernements.

D’autre part, des normes sur l’isolation et la consommation en énergies des logements crée un ensemble de surcoûts pour les propriétaires… et mène sans doute à plus de création d’argent par les autorités en conséquence (via des aides à l’emprunt ou des subventions pour le coût des rénovations).

Vous l’ignorez peut-être , mais en raison de la perte d’activité et d’emploi dans l’industrie depuis les années 80, la consommation en énergies du pays baisse au fil du temps, avec ou sans la pression des autorités.

Les objectifs pour les émissions à date de 2030 (une chute de moitié des émissions par rapport à 1990) reviennent à une accélération de la tendance en cours…

Par contre, en l’absence d’un succès sans précédent des énergies renouvelables… les pays ont peu de chances d’arriver à hauteur des engagements.

Les records d’endettement tiennent à l’enchaînement sur quatre ans de déficits sans précédent par le gouvernement.

De pair avec le roulement de la dette - de plus de 3.000 milliards d’euros - un emballement de la dette peut avoir lieu sous l’effet des hausses de taux d’intérêt.

Le retour de la Stagflation et des Chocs pétroliers


L’envolée de la dette et des déficits a de l’importance pour les énergies à l’avenir… tout comme lors des Chocs pétroliers des années 1970.

Les déficits des gouvernements américain et européens ont alors mené à la dévaluation du dollar… et de l’explosion du prix du baril de pétrole en réponse.

De même, une chute de l’euro dans les marchés - en conséquence de la dette et des déficits - peut amener une sorte de Choc pétrolier de nos jours. En réponse, le pays verra des prix en hausse dans les magasins, des marchés en berne, et une stagnation des revenus.

En somme, le scénario de Stagflation des années 70 revient en vitesse.

Si vous croyez, comme l’affirme la presse, à la fin de la période d’envolée des prix… grâce au resserrement de la banque centrale, et au contrôle des prix par les gouvernements, par exemple… vous risquez de commettre une grosse erreur.

Dans les années 70 aussi, la progression de prix a eu des périodes de repli… puis de retour à des progression de prix rapides.

La dévaluation des devises dans les années 70, en particulier pour le dollar, a lieu en 3 périodes de forte hausse des prix…

À chaque reprise, des commentateurs et analystes ont prévu la fin des ennuis… et les épargnants - tout comme les consommateurs - ont ensuite souffert d’un retour du problème.

Par exemple, en fin d’année 1978, le Premier ministre, Raymond Barre, rassurait les auditeurs de France-Inter sur une “amélioration attendue de notre environnement extérieur.”

Le ministre annonçait la fin de la “phase d'assainissement,” et le retour à la croissance.

Beaucoup de gens ont peut-être cru à l’optimisme de M. Barre, tout comme ils croient à la sincérité des dirigeants de nos jours.

En réalité, le rythme de la hausse des prix a grimpé pendant les 3 années après le discours du ministre à la radio. L’indice des prix a atteint 9,1 % pour 1978, l’année de son intervention aux ondes. Puis, il a progressé de près de 11 % en 1979, et de plus de 13 % en 1980 et en 1981 !

Encore une fois, la presse croit à la victoire des autorités sur la progression des prix.

En fait, le pays a sans doute bien plus d’ennuis à l’horizon… avec une reprise des hausses, en particulier pour le prix à la pompe !

En ce moment, tout comme dans le passé, la chute de la devise et la hausse des prix… vont avoir lieu… non pas d’un coup… mais en étapes.

En somme, la montée des prix depuis 2021 signale peut-être la venue d’une succession de vagues du même type… sur le restant de la décennie.

À l’instar des années 70, les hausses de prix par la suite peuvent dépasser de loin la débâcle jusqu’ici…

Par ailleurs, les blocages de prix par les dirigeants… pour l’électricité ou les produits en rayons… risquent de mener à des épisodes de rattrapage, avec une explosion à la hausse sur une courte période de temps.

Ces types d’événements ont lieu dans d’autres pays que nous suivons…

Dont par exemple en Argentine, où je me trouvais récemment…

Lorsque je suis arrivé, 100 euros vous achetaient environ 35.000 pesos…

Mais l’argent perd de la valeur si rapidement qu’au moment de mon départ, j’ai échangé 100 euros pour une liasse de 40.000 euros.

Lorsque j’ai pris l’avion, j’ai laissé mes billets non utilisés à une connaissance.

Ils n’auront plus qu’une fraction de leur valeur lors de ma prochaine visite.

D’autres pays souffrent de coupures de courant… de perte de l’accès aux hôpitaux et soins… et des rayons de magasins vides… le tout à cause de problèmes de dévaluation de la devise.

Et, dans chacun des cas d’hyperinflation que nous suivons, l’histoire démarre avec une succession d’années de déficits élevés - du même ordre de grandeur que ceux de la France -… et un emballement de la dette sans fin en vue.

Ceci pourrait créer l’une des décennies les plus explosives pour les investissements dans les énergies, dont le pétrole…

Un placement spécifique à détenir - jusqu’en 2030


Entre menaces de taxes sur les producteurs… tentatives de nationalisation… et contrôles des prix… les autorités créent les conditions pour une pénurie de pétrole sur le durée, sans effet sur la demande - en hausse d’année en année.

Le solaire… l’éolien… les biogaz… l’hydrogène… et l’ensemble des technologies en vogue ont trop de défauts par rapport à l’efficacité des énergies fossiles.

L’Allemagne, qui mène l’assaut contre les émissions de carbone, émet à présent plus de pollution que jamais en raison de sa consommation de charbon - en replacement de la fermeture de centrales.

Mon équipe et moi recommandons un pari spécifique en rapport à l’opportunité dans les énergies fossiles…

Et je vous en donnerai les détails dans un instant, si vous le souhaitez.

Nous ne recommandons pas d’acheter la méthode la plus communément utilisée en Europe (je vous explique pourquoi).

En effet, vous risquez de souffrir les pertes que vont encaisser les sociétés comme Total, lorsque les projets d’éoliennes ou d’hydrogène tourneront au vinaigre.

Mon équipe recommande un investissement sur une classe de producteur de pétrole et de gaz avec moins de risques en lien aux renouvelables et politiques sur le climat.

À l’heure où je vous écris, je me trouve à Paris… en début d’automne… et les températures tombent vers le froid après les mois d’été…

L’hiver, en somme, attend au tournant… et pourtant, les infos n’ont pas de craintes sur la situation dans l’énergie.

Tout le monde croit à la fin de la crise, en raison de la gestion de la situation par les autorités… et des promesses de contrôles de prix en cas de retour de la tension.

Le prix de l’absence de coupures de courant


En réalité… la raison pour l’absence de crise jusqu’à présent - coupures de courant ou rationnement d'électricité - provient… non pas de l’efficacité de la gestion des dirigeants… mais du fonctionnement des marchés.

En réaction à un déséquilibre entre l’offre et la demande… en particulier lors d’un manque d’offre sur le marché par rapport à la consommation, les prix grimpent au plafond.

Le marché envoie ainsi le signal aux producteurs de relancer la machine.

Il envoie aussi le signal aux consommateurs d’énergies - les ménages et l’industrie - de réduire la voilure.

En résultat, l’industrie en Europe a perdu des années de croissance dans l’industrie en réaction à la pénurie d’énergies.

En 2002, la consommation en gaz naturel en Europe chute de 13 % par rapport à la norme. La majorité vient de la fermeture ou du ralentissement de la production d’usines.

Le gouvernement français offre à présent des subventions pour la construction de nouvelles usines - dans les batteries ou les semi-conducteurs… tandis que d’autres cessent les opérations par manque d’accès à l’énergie !

L’effondrement des investissements dans la production d’énergies, au cours des confinements, requiert des années de rattrapage et de réparation des dégâts.

Encore de nos jours, la production rattrape à peine les niveaux d’avant les confinements.

Les États-Unis, à présent le plus gros producteur de pétrole au monde, ont 500 puits en opération, à date d’octobre 2023 - soit une perte de plus de 300 puits depuis la veille des confinements.

Avec, des plus, la réticence à la production de la part des pays du groupe de l’Opep+, en particulier la Russie et l’Arabie saoudite, la production de barils - à travers le monde - affiche une baisse depuis février 2023, la dernière fois où la production a dépassé 82 millions de barils par jour.

En septembre, les réserves de pétrole prêts à la consommation ont atteint le point le plus bas en 13 mois.

Pour l’énergie, l’avenir contient non pas l’abondance et la prospérité, mais la disette et la restriction.

Les particuliers perdent en pouvoir d’achat tandis que les autorités continuent la politique de dissuasion des énergies fossiles, et poussent à l’achat de voitures électriques - sans préoccupation pour le coût de l’électricité, ni pour les limitations des renouvelables (manque de production la nuit, ou en absence de vent).

De plus, la facture des renouvelables risque d’atteindre bien plus d’ampleur que prévu.

Les entreprises rapportent des niveaux de production moins élevés qu’attendus, des pannes plus fréquentes, et des coûts de maintenance plus élevés pour les renouvelables, en particulier les éoliennes.

En atteste par exemple l’entreprise Siemens Energy. L’action fait une chute de 30 %, du jour au lendemain, en juin de cette année. En cause, la société révèle bien plus de pertes qu’attendu sur l’exploitation des éoliennes en mer.

L’estimation des pertes pour l’année passe de 712 millions d'euros… à 4,5 milliards, en raison des problèmes d’éoliennes !

(Vous voyez pour quelle raison mon équipe évite les entreprises en lien au secteur.)

En somme, le continent crée toujours plus d’argent pour le soutien d’une transition vers les renouvelables et l’électrique… et en tire un risque de panne de courant, de voitures et d’éoliennes à l’arrêt… et des déficits en hausse pour le restant de la décennie.

L’attitude des dirigeants sur l’écologie… la guerre… ou la protection des données des internautes… revient à des promesses de garanties, des subventions, et des restrictions contre la concurrence - en particulier des étrangers.

Par exemple, l’UE vise à présent la création de pénalités pour les constructeurs de voitures chinois. Les représentants trouvent des justifications.

Au final, les lois reviennent à une protection des constructeurs européens contre la concurrence, et à des prix plus élevés pour le consommateur.

Les dirigeants ont peu de préoccupation pour la réalité des besoins de l’économie.

Par exemple, Paris fonctionne en grande partie grâce aux dépenses des touristes… et pourtant les élus inventent des blocages sur la mise en location d’hébergements - comme Airbnb -, ou les modes de transport, comme les trottinettes.

De même, la presse et les dirigeants ont peu conscience de l’importance des décisions d’investissement des entreprises dans l’énergie…

Ils créent des entraves et des normes sans égard aux conséquences pour le pouvoir d’achat ou la valeur de l’euro.

Par exemple, ils soutiennent la fermeture du dernier champ de gaz naturel de grande taille en Europe, le gisement de Gröningen aux Pays-Bas.

La France et le reste du continent ont reçu un secours face à l’explosion des coûts de l’énergie, en particulier grâce à l’importation de gaz des États-Unis.

Or, l’extraction et l’exportation du gaz naturel ont lieu grâce à l’investissement depuis deux décennies de majors américains dans des infrastructures, au coût de dizaines de milliards de dollars.

L’apparition de mesures dans le domaine de l’énergie, comme le lancement du “Plan d’écologie,” risque de remettre en cause l’accès au gaz naturel américain.

Par exemple, pour l’importation et le traitement de gaz, le continent a besoin d’infrastructures de stockage et de distribution. Or, les normes sur la protection de l’environnement, et l’opposition des dirigeants, mènent à l’abandon de projets d’infrastructures, à travers le continent.

Le programme français sur l’écologie provient en grande partie des calculs et prévisions d’un employé du ministère de l’Écologie, âgé de 39 ans.

Les journaux rassurent sur son expertise - et ses diplômes de Ginette et études d’ingénieur aux Mines.

Mais un individu quelconque, malgré toute l’éducation et les diplômes au monde, n’a pas les compétences pour l’administration des systèmes de production et distribution d’énergies pour 70 millions de personnes.

Même avec des milliers de gens sur l’affaire, personne n’a les capacités ni l’intellect pour la tâche.

En somme, la hausse des contrôles et taxes sur les énergies mènent vers un choc dans nos manières de vivre…

Profits à prendre dans la tourmente


Selon l’avis de mon équipe, des opportunités de profit attendent en vue des déséquilibres et perturbations…

Les problèmes aux chaînes de production et de distribution - en lien aux confinements - donnent un avant-goût des dérèglements en vue.

Et mon équipe d’analystes experts dans la Bourse et l’investissement… que j’ai rassemblée pour guider mes abonnés - dont je vous invite à faire partie -… vise des opportunités de bénéfices sur la débâcle.

J’écris ce message depuis mon “quartier général”, à Paris, où je vois à la fois les gloires du passé du pays… et les déboires des décisions de dirigeants à présent.

Le centre où je me trouve évite jusqu’à présent les pires des tentatives de refonte de l'organisation de la ville par les élus…

En effet, presque tous les bâtiments ont une protection contre les modifications de façades ou de structures en raison du statut pour les logements historiques.

Les quartiers historiques, et non les nouvelles constructions des dernières décennies, font le charme et l’attrait de la capitale.

Dans les énergies aussi… le gros de la valeur provient des formes d’énergies historiques - en particulier le pétrole.

À côté, les renouvelables, tout comme les nouvelles constructions de bâtiments, à Paris et dans d’autres villes, proviennent d’une idéologie de contrôle.

Dans l’immobilier, une partie du secteur vit grâce à ses propres mérites. Une autre vit grâce à des programmes des élus. La même chose a lieu dans l’énergie.

Tout comme la ville de Paris vise une part de 40 % de logements aux loyers réduits - et sous administration des dirigeants -, les autorités visent plus de contrôle sur le secteur de l’énergie.

La privatisation d’EDF - au motif des pertes en lien au plafonnement du coût de l’électricité - marque peut-être le début.

Le Plan d’écologie, en ce moment, met plus de décisions et de contrôle entre les mains de politiciens…

Le système de production et de distribution d’énergies, tout comme l’immobilier parisien, va subir des revers en raison des choix des dirigeants.

Certains des paris de notre équipe concernent les manières de mettre l’ingérence des dirigeants au service de nos portefeuilles…

Par exemple, uniquement pour les membres les plus élites de nos lecteurs, nous avons recommandé, fin 2022, des producteurs de pétrole spécifiques.

Ils paient à présent des dividendes de 10 ou 20 % de la valeur des titres, par-dessus des plus-values à double-chiffres pour l’année.

Mon équipe vise aussi des situations de rentabilité en lien aux besoins en gaz naturel…

Le gaz naturel peut profiter des restrictions sur l’une des formes d’énergies les plus communes de nos jours… le charbon.

En dépit des centaines de milliards d'incitations pour les renouvelables, la consommation de charbon grimpe sans cesse - en particulier en Asie et en Inde.

Selon mes analystes, le gaz naturel a le plus de chances de saisir la part de marché du charbon, en raison de la facilité du remplacement du charbon par le gaz dans les centrales d’électricité…

De plus, la hausse des capacités d’exportation - grâce aux investissements dans les infrastructures - signale une hausse de l’usage du gaz naturel à l’avenir.

Une grande partie des bénéfices du gaz naturel iront vers un petit segment du secteur… dans lequel les profits peuvent grimper en flèche, lorsque les conditions le permettent.

Ce genre d’entreprise ne produit pas elle-même de gaz, et ne détient pas de gisement.

Ainsi, elle n’investit pas de lourdes sommes dans des infrastructures d’extraction, ni sur l’exploration risquée.

Par ailleurs, les revenus de ce genre d’entreprises peuvent grimper, même sans hausse pour le prix du gaz naturel !

Ce genre d'entreprise peut nous mettre des profits en portefeuille grâce à l’essor du gaz naturel, sans le risque des plongeons en cas d’excès d’inventaires, ou d’un ralentissement de passage dans l’activité de l’industrie - en cas de récession, par exemple.

Des paris spéculatifs
qui peuvent grimper même si le pétrole chute !


D’autres paris que suit mon équipe ont lieu dans un segment de la production et de la distribution de pétrole…

Tout comme les producteurs d’énergies comme Total ou Exxon ont touché une manne de centaines de milliards de dollars à la suite des confinements… les acteurs du segment en question ont peut-être aussi des trimestres d’excédents records en approche.

Vous trouverez, dans les dossiers que je vous enverrai aujourd’hui, le détail de ce secteur précis, et de pourquoi des déséquilibres entre l’offre et la demande apparaissent à présent…

Je vous révélerai quels types d’opportunités nous surveillons pour en bénéficier.

Tout comme avec les déficits en succession, les effets des perturbations - au nom du virus - sur l’économie ont des effets sur la durée.

La création d’argent, et la restriction de l’activité dans les énergies fossiles au prétexte du climat, créent plus de risques… et des opportunités pour le profit.

De plus, pendant que les gouvernements font pression contre les émissions de carbone, les dirigeants des majors du pétrole et du gaz, comme Shell ou BP, rejoignent la tendance contre les énergies fossiles.

Les gérants d’entreprises de production d’énergies annoncent des objectifs de baisse de la production !

Au lieu de viser des hausses de production du pétrole et du gaz au fil du temps - en réponse à la hausse de la demande -, ils prévoient la stagnation de la production, et un renforcement des investissements dans l’éolien et le solaire en dépit des problèmes de rentabilité et de dépendance aux subventions.

En plus de mes explications des risques - et des opportunités - dans l’énergie, en particulier le pétrole et le gaz, je vais aussi vous présenter plus de conseils et d’analyses sur la gestion de votre patrimoine… afin de vous protéger - et tenter de prospérer - des risques en vue…

Accroissement de risques…

Mon équipe suit de près et commente des situations ou prévisions en particulier… par exemple…

*** Le retour des hausses de prix en magasins et à la pompe, sous forme de vagues, à l’instar des années 70 et de la Stagflation

*** La fuite devant la chute des devises, en particulier l’euro, en raison de la perte en valeur des épargnes, et du manque de rendement dans les comptes bancaires, obligations, et produits d’épargne tels que les Livrets A et assurances-vie

*** Des pertes chez les emprunteurs, dont les acheteurs d’immobilier à crédit, avec la chute en valeur des biens suite à l’assèchement des octrois de crédit

*** Des tentatives de stimulations des achats et de marchés - dont l'immobilier, par exemple - à force de soutiens à l'endettement et à l’émission de crédits…

*** Des rebonds, puis des plongeons des actifs avec l’annonce de mesures, puis les dégradations des conditions de marché avec les déboires de la devise

*** Des revers pour l’euro dans le marché des changes, avec des explosions de prix de matières premières, comme le blé, le pétrole, ou le fer… puis des tentatives de contrôles de prix - par des lois ou des subventions -, ce qui crée plus de dette et induit des pénuries en rayons

*** Des tentatives de protection de l’euro via des contrôles de flux de capitaux, à l’instar des interdictions d’achat de l’or ou du franc suisse sous Mitterrand, ou le gel des retraits de banques ou assurances-vie, comme prévu dans la loi “Sapin 2”

*** Le rationnement d’énergies ou de biens importants pour la vie courante des Français, dont les livraisons de voitures, l’accès à l’électricité, matériaux pour les constructions, ou engrais pour les agriculteurs

*** Le renforcement de programmes de redistributions entre les entreprises, et extension de garanties de prix aux ménages

*** Des blocages contre les importations au nom de la protection d’industries ou entreprises contre la concurrence des étrangers

*** Bien plus d’encadrement et de restrictions sur l’usage du web, dans le but d’éliminer les critiques des choix du gouvernement, et donner au gouvernement un contrôle sur les opinions et informations que vous pourrez découvrir (ce qui a déjà lieu de nos jours)

*** Des déficits élevés, et l’annonce de programmes d’aides de la part de la banque centrale, au coût de la valeur de la devise, et des épargnes

*** Plus d’interventions dans le domaine de la technologie, comme l’hébergement et le transfert de données, en lien aux ambitions des élus et représentants de l’UE

*** Plus de subventions en faveur d’un passage à l’électrique dans les voitures, sans lien avec les contraintes en termes d’autonomie des véhicules, fiabilité des batteries, ou capacités du réseau de recharge

*** Des pénuries de composants de voitures qui poussent à un rallongement des délais pour les réparations, ou la livraison de véhicules

Et bien plus de dangers, imprévus, et débâcles…

Gratuit : votre exemplaire de mon “livre électronique”

Je vous enverrai… avec tout le reste (que je vous résumerai dans un instant)… un dossier spécial au sujet de 5 “étapes” du désastre qui plane sur la France…

En fait, ce dossier fait près d’une centaine de pages, et vous pourriez plutôt y voir une sorte de “livre électronique” qui vous présente les aspects du problème… sous les angles les plus importants pour la vie des Français.

Je vais donc… si vous le voulez… vous envoyer une série de dossiers que je pense pouvoir vous apporter des conseils et des prévisions utiles pour votre patrimoine…

Recevez tout ceci offert de ma part

Pour résumer… je vous partage ci-dessous la liste des documents en question - que je vous enverrai totalement gratuit, lorsque vous acceptez de rejoindre mon cercle d’abonnés pendant 1 an…

*** Une série d’interviews (en versions texte et vidéo) avec un expert renommé… le plus gros actionnaire d’un fonds d’investissement spécialisé dans les ressources (dont le pétrole)... avec plus de 10 milliards $ sous gestion, et basé à Toronto, au Canada

*** Deux dossiers spéciaux sur des opportunités particulières en lien au pétrole et au gaz naturel… sur des types d’entreprises auxquels vous n’auriez peut-être pas pensé… que nous pensons capables de délivrer des gains importants avec les dérèglements du marché en conséquence des confinements

*** Un dossier spécial qui vous détaille tous les conseils pratiques à mettre en œuvre dès maintenant pour protéger - et faire fructifier votre patrimoine. Nous y donnons le placement spécifique que nous vous recommandons d’acheter, tout de suite, afin de profiter de l’essor du pétrole et du gaz sur les prochaines années. Nous y donnons aussi plus de conseils sur l’allocation de votre patrimoine, dont nos recommandations pour l’or et les métaux précieux, et ce que nous conseillons de faire afin de vous protéger d’une chute des marchés-actions…

*** Un dossier sur les principaux risques qui planent sur les Français de nos jours… sous forme d’un “livre électronique” qui fait environ une centaine de pages… Ce dossier, La Descente aux enfers de la France en 5 étapes, vous explique comment les déboires sur la monnaie et les énergies peuvent amener bien plus de complications aux vies des Français, et mener à une baisse des niveaux de vie pour beaucoup de gens…

*** Un dossier spécial qui vous présente plusieurs de nos analyses récentes de l'économie et des marchés, afin de vous aider à comprendre comment nous voyons l’évolution des taux d’intérêts, des marchés financiers, de la santé des banques et assurances, et l’immobilier…

Et ce n’est pas tout ce que je vous enverrai, tout de suite, si vous le souhaitez…


Rejoignez un cercle exclusif en France


En effet… si vous décidez d’accepter ma proposition aujourd’hui… je vais aussi vous ajouter à ma liste d’abonnés exclusifs pendant 1 an.

En acceptant, vous rejoindrez tout de suite un cercle particulier de lecteurs…

C’est un cercle dans lequel je partage, une fois par mois, une analyse approfondie - d’environ une dizaine de pages - de la situation dans l’économie et les marchés, et vous donne nos principales directives sur comment placer votre patrimoine…

Ce cercle se nomme la Lettre HB.

Vous recevrez donc…

*** Un abonnement d’un an à notre Lettre HB, une lettre mensuelle, publiée le 15 de chaque mois. Vous recevrez un numéro par mois pendant 12 mois, soit une douzaine de numéros au total. Vous n’aurez rien besoin de faire pour recevoir vos 12 numéros. Vous avez simplement à suivre la démarche que je vous indique un peu plus bas. Vous serez ensuite couvert pendant une année entière d’adhésion à notre cercle d’analyse et de conseil sur les placements.

Dans ce dossier mensuel, je partage l’analyse de mon équipe d’experts et de chercheurs sur la Bourse, les placements, et l’histoire de l’économie…

Au cours des derniers mois, dans cette lettre, vous auriez découvert…

*** Le détail de notre Indice du Désastre, un nouvel outil que nous venons de mettre au point afin d’avoir un signal rapide d’une détérioration dans les marchés… Vous pouvez voir l’évolution de l’indice ci-dessous, basé sur des données historiques… L’indice plonge dans la zone d’alerte, similaire à la période juste avant la crise de 2008…



*** Pourquoi le plus gros risque dans le resserrement des crédits peut avoir lieu du côté des emprunteurs, et non des banques et investisseurs en obligations…

*** Comment le programme de crédits d’impôts aux États-Unis mène à au moins 14 projets d’usines et d'infrastructures, pour une somme totale d’au moins 80 milliards $ de dépenses - l’une des raisons pour lesquelles le dégonflement de la bulle de crédits n’a pas lieu pour le moment…

*** Pourquoi le graphique ci-dessous, qui montre la charge du remboursement de la dette pour les ménages américains, explique la résistance des économies à la hausse de taux… En effet, les particuliers et entreprises ont mis à profit l’effondrement des taux d’intérêt, et n’ont pas pris le risque d’une rehausse à l’avenir. Les particuliers américains ont emprunté à taux fixes… et ainsi, la rehausse des taux n’a pas d’impact sur les budgets des ménages pour le moment. Par conséquent, le resserrement de l’octroi des crédits n’a pas les mêmes effets de nos jours, par rapport aux années 80 par exemple.

*** Comment les Français aussi ont profité de l’effondrement de taux, si bien que les prêts à taux fixes ont atteint 99 % des nouveaux crédits en 2022, contre près de 30 % en 2005…

*** Les effets de la chute en valeur des obligations aux rendements proches de 0 %... qui mène par exemple à une chute de 80 % du prix d’une obligation à 100 ans de maturité, émise par l’Autriche en 2017… et pourquoi le système financier attend encore la “confession des damnés” parmi les détenteurs de ces obligations…

*** Notre point de vue sur le projet de monnaie de la part des pays du BRICS au cours de l’été…

*** Pourquoi la valeur de l’euro risque de poursuivre la baisse en dépit du resserrement des banques centrales, et pourquoi une situation de hausses des taux et des prix dans l’économie peut pousser à la hausse le prix de l’or

*** Ce que nous disent les chiffres sur le nombre de voyageurs en avions, et le chiffre d’affaires du parc Eurodisney, au sujet du risque de récession, et de la progression des prix

*** Pourquoi mon équipe recommande tout de même une allocation de votre patrimoine importante (nous vous disons exactement quelle proportion) aux liquidités, comme l’euro, le dollar, ou le franc suisse, en dépit des risques pour la valeur des monnaies

*** Les raisons d’un écart entre la croissance de l’économie (en rouge, ci-dessous, pour les États-Unis), et la taille des patrimoines (en bleu), et comment nous voyons le retournement violent de la situation à l’avenir



*** Pourquoi nous nous attendons à une “décennie perdue” dans les actions, et comment mon équipe met en place une stratégie sur le thème d’une des règles du célèbre Peter Drucker : « En période de turbulences, le plus grand danger ne sont pas les turbulences mais d’agir avec la logique d’hier ».

*** Pourquoi l’analyse de la “prime de risque” des actions - par rapport aux obligations et produits de rendement - signale un déclin des prix des actions à l’avenir (lorsque vous prenez en compte la perte de valeur de l’euro)...

*** Comment la zone euro risque de céder à la “zizanie” en cas de retour du problème d’endettement de pays comme la Grèce et l’Italie…

*** Comment un événement que peu de gens ont aperçu, en octobre 2022, a montré la volonté des autorités américaines de faire chuter le dollar afin d’éviter tout problème de liquidités dans les marchés des crédits…

Et bien plus d’informations et analyses de ce genre.
Vous recevrez ce dossier de la Lettre HB, le 15 de chaque mois, pendant 1 an.

Une dernière chose - offerte - pour vous permettre de nous suivre au quotidien

Et enfin… une dernière chose… vous serez ajouté à une liste de diffusion quotidienne… totalement gratuite… que j’ai créée afin de continuer à vous informer au quotidien des nouveautés de notre groupe, de nos dernières pistes d’investissement, et des tendances que nous repérons dans nos analyses.

Ainsi, vous aurez un accompagnement mensuel…

Mais aussi une quotidienne, totalement offerte, qui vous fournira des commentaires de ma part (Henry Bonner), et de la part de mon équipe, plus régulièrement…


Tout ceci pour une fraction du prix d’un café par jour

Le coût pour profiter de tout ceci ?

Bien sûr… je ne peux pas me permettre de vous proposer tout ceci de façon totalement gratuite.

Par contre, j’ai fait de mon mieux afin de mettre ce service à portée du plus grand nombre… ainsi que le prix ne soit pas un obstacle si vous pensez que ces informations vont vous servir.

Un service de conseil en investissement de la part d’un conseiller pourrait bien vous coûter des milliers par an en frais de gestion, ou en honoraires…

De plus, bien souvent, les banquiers ou conseillers ont un intérêt à vous présenter certains types de placements, puisqu’ils peuvent générer des commissions pour eux-mêmes…

À l’inverse que je vous propose ne requiert pas de bureaux sophistiqués, ni d’équipe d’avocats pour nous conformer à l’Autorité de marché…

Et nous ne touchons aucun frais ou commissions pour vous recommander ces placements. Nous sommes totalement soutenus par nos abonnés, et non par des marques qui achètent des espaces publicitaires, ou de vendeurs d’investissements qui nous offrent des commissions. En somme, nous n’avons pas de conflit d’intérêt.

Notre seul but est de conserver la confiance de nos abonnés, des gens comme vous.

Nous ne vous donnons pas de conseils personnels, en tête-a-tête. Et nous ne gérons pas de patrimoine. Nous vous envoyons simplement ce que nous conseillons de faire, et ce que nous prévoyons pour les marchés, par mail.

Nous pouvons vous faire profiter de ces économies - par rapport à un conseiller ou un gérant de patrimoine - avec un rabais colossal par rapport à ce que vous auriez normalement à payer pour les conseils d’une équipe de ce calibre…

À quel point est-ce que je peux rabaisser ce prix ?

Je peux vous fournir un an d’accès complet - soit 12 mois - à ce que nous proposons… en plus de tous les dossiers spéciaux et mon “livre électronique”... pour seulement…

69 euros pour un an.

Soit moins de 20 centimes par jour. Bien moins que le prix d’un café.

J’estime que ce prix est suffisamment faible pour que toute personne, en France, qui souhaite profiter de ces conseils pourra le faire, sans craindre pour ses finances personnelles.


Voici ce que disent les abonnés aux conseils de mon groupe

Une dernière chose…

Voici certains des commentaires que nous recevons de la part d’abonnés…
Un bol d’air frais
-- Fred M.
J’ai voyagé autour du monde et j’ai monté ma propre boîte… Le savoir et l’honnêteté [qu’ils] apportent est exceptionnel. Je lis leurs missives depuis environ deux ans et je suis sans cesse impressionné par la profondeur de leur réflection…
-- Mark T.
Je ne peux pas vous dire combien j’ai appris et me suis préparé moi et ma famille grâce à vos écrits… Je suis moins inquiète parce que je sais que je peux prendre des mesures proactives face aux soucis économiques qui s’annoncent. Merci d’avoir partagé vos connaissances et d’avoir élargi mes horizons !
-- C.L.
J’ai ri, j’ai été au bord des larmes, je me suis énervé, je me suis senti insulté, je me suis interrogé sur votre santé mentale, j’ai admiré votre intellecte et votre courage, et je me suis même servi un verre afin d’arriver à finir certains de vos articles. Le plus important, c’est que j’ai appris des choses. Merci pour tout et continuez ainsi !
-- J.L
Cette information m’a vraiment ouvert les yeux. Cela m’aidera à faire des ajustements sérieux à mon mode de vie et à mes projets.
-- Christophe F

Si nous rejoindre vous intéresse… dirigez-vous simplement ci-dessous pour un résumé de tout ce que vous recevrez dès aujourd’hui…

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