La compagnie nationale libyenneNOC dispose d'un budget de 50 milliards de dollars US pour investir dans son secteur pétrolier et gazier cette année, afin de surmonter les défis de sécurité et de ramener sa production de pétrole à son niveau précédent "la guerre civile" qui équivalait à 1,6 million de bpj (barils par jour).
Selon l'AIE, la production de pétrole brut aux États-Unis maintiendra ses records annuels jusqu'en 2027 et restera supérieure à 14 millions de bpj (barils par jour) jusqu'en 2040.
La demande de pétrole brut devrait croître de 1,4 million de barils par jour cette année, a estimé BP.
En décembre 2018, le prix du pétrole en euros chute de nouveau (−12,0 % après −19,3 % en novembre).
Les raffineries chinoises ont traité en moyenne 12,07 millions de barils de pétrole brut par jour en 2018, en hausse de 6,8% par rapport à l’année précédente.
Le gazole, carburant le plus vendu avec près de 80% des volumes, s'affichait en moyenne à 1,4080 euros le litre, soit 1,63 centime de plus que la semaine précédente.
L'AIE table sur un cours du baril de Brent à 61 dollars en moyenne pour 2019, après 71 dollars en 2018, soit une baisse de 14%.
La production totale des membres de l'OPEP a décliné de 75.100 barils par jour (bj) en décembre, à 31,58 millions de barils par jour (mbj).
Les stocks de pétrole brut américains ont diminué plus que prévu la semaine passée, de 2,68 millions de barils à 437,06 millions, contre 1,3 million attendu.
Aux Etats-Unis, les prix de l'énergie ont reculé de 5,4% en décembre, tirés par une baisse de 13,1% des prix de l'essence.
L'indice Baltic Dirty Tanker Index (BDTI), moyenne des taux pratiqués sur dix-sept routes de transport de pétrole brut et de fioul lourd, a fini vendredi à 929 points, à son plus bas en 3 mois, contre 982 points la semaine précédente.