Suivi des prix du pétrole, de l'étude des cours du baril à la compréhension de l'évolution de l'industrie pétrolière, au cœur des marchés pétroliers internationaux.
Pour le début 2013, la filiale française de la compagnie pétrolière américaine Hess Oil prévoit d’entamer au moins un forage d’exploration en Seine-et-Marne ou dans la Marne à l’est de Paris. Ces forages seront destinés à rechercher des hydrocarbures conventionnels, et pas les sulfureux gaz et pétrole de schiste ou autres hydrocarbures dits non conventionnels.
L’est du bassin parisien compte déjà plusieurs petits gisements pétroliers en exploitation. Il a d’ailleurs fait face à une forte mobilisation contre les hydrocarbures de schiste. Des opposants accusent les compagnies de ne pas avoir entièrement abandonné leurs visées non conventionnelles.
La France produit du pétrole mais de façon minime et déclinante : environ 20 000 barils par jour actuellement, dans le bassin parisien et en Aquitaine principalement. Dans le seul bassin parisien plus de 2 000 puits ont déjà été forés et plus de 285 millions de barils de pétrole ont été produits, selon les compagnies.
Le principal producteur sur le sol français est Vermilion, qui a renforcé sa place de numéro un dans l’Hexagone en rachetant fin 2011 six gisements à Total.
En juin, le prix du pétrole en dollars a continué de reculer (–13,5 % après –7,6 % en mai). Il s’est établi à 96,4 $ le baril de Brent, son plus bas niveau depuis janvier 2011. Parallèlement, les prix en devises des matières premières hors énergie importées en France ont enregistré une nouvelle baisse (–3,2 % après –1,6 % en mai).
Le prix du pétrole continue de chuter
En juin, la baisse du prix en dollars du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) s’est sensiblement accentuée (–13,5 % après –7,6 %). En euros, la baisse du prix du baril a également été marquée (–11,8 % après –4,9 %), malgré une nouvelle dépréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (–2,0 %).
Les prix des matières premières industrielles toujours en baisse
En juin, les prix en devises des matières premières industrielles ont continué de baisser (–4,0 % après –3,0 % en mai). Le recul des prix des matières premières minérales s’est poursuivi (–4,1 % après –4,4 %). En particulier, les cours des métaux non ferreux ont fortement chuté (–5,3 % après –3,3 %), notamment ceux du cuivre (–6,3 %), de l’aluminium (–5,8 %) et du plomb (–7,2 %). En revanche, la baisse des cours des métaux précieux s’est nettement atténuée (–0,6 % après –6,3 %). Les cours de l’argent ont baissé moins fortement qu’en mai (–2,2 % après –9,1 %) et ceux de l’or sont en hausse (+0,7 % après –3,9 %).
Les prix des matières premières agro-industrielles se sont repliés (–3,6 % après +1,2 %), notamment ceux du caoutchouc naturel (–12,8 %) et des fibres textiles naturelles (–6,5 %), principalement ceux du coton (–7,0 %).
Les prix des matières premières alimentaires se replient
En juin, les prix en devise des matières premières alimentaires ont diminué (–1,8 % après +0,9 % en mai). En effet, les cours des denrées tropicales ont chuté (–4,1 % après +0,9 %), du fait de la forte baisse des prix de l’arabica (–9,7 %) et dans une moindre mesure de ceux du cacao (–3,2 %). Les cours des oléagineux s’inscrivent également en repli (–0,4 % après +1,3 %), notamment ceux de l’huile de palme (–10,3 %) et de l’huile d’olive (–3,3 %). Les cours des céréales reculent (–1,4 % après +2,2 %), en raison d’une nouvelle baisse du prix du maïs (–2,2 %). Les cours du sucre sont en revanche à nouveau en hausse (+1,0 % après –11,9 %).
Prix du pétrole (Brent)
Source : Insee
Ensemble des matières alimentaires
Source : Insee
Matières premières importées (ensemble, hors énergie)
Source : Insee
Ensemble des matières industrielles
Source : Insee
Pétrole et dérivés
en dollar
Les prix sont en dollar par tonne sauf indication contraire.
En mai, le prix du pétrole en dollars a nettement reculé (–7,6 %). Il s’est établi à 111,5 $ le baril de Brent. Les prix en devises des matières premières hors énergie importées en France ont également enregistré une nouvelle baisse (–1,4 % comme en avril).
La baisse du prix du pétrole s’accentue
En mai, le prix en dollars du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) a continué de chuter (–7,6 % après –3,1 % en avril). En euros, la baisse du prix du baril a été légèrement moins sensible (–4,9 % après –2,7 %), car la dépréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar s’est poursuivie (–2,9 %). Le prix du baril en dollars a retrouvé son niveau de janvier 2012.
Les prix des matières premières industrielles continuent de baisser
En mai, les prix en devises des matières premières industrielles ont continué de baisser (–2,6 % après –2,1 % en avril). Le recul des prix des matières premières minérales s’est accentué (–4,4 % après –2,8 %). Les cours des métaux non ferreux sont de nouveau en baisse (–3,3 % après –4,0 %), notamment ceux du cuivre (–4,1 %), du nickel (–4,9 %), du zinc (–3,8 %) et, dans une moindre mesure, de l’aluminium (–2,2 %). Parallèlement, les cours des métaux précieux ont fortement chuté (–6,3 % après –2,9 %), principalement ceux de l’argent (–9,1 %) et de l’or (–3,9 %).
Les prix des matières premières agro-industrielles se sont toutefois redressés (+2,8 % après –0,2 %). Les prix des bois sciés de conifères ont accéléré (+8,9 %) et ceux de la pâte à papier ont continué de s’apprécier (+0,8 %). Les cours des fibres textiles naturelles se sont en revanche repliés (–10,6 %) sous l’effet de la baisse sensible des cours du coton (–11,3 %). Ceux-ci pâtissent du ralentissement de l’activité en Chine qui représente environ 40 % de la consommation mondiale de coton.
Les prix des matières premières alimentaires s’affermissent
En mai, les prix en devise des matières premières alimentaires ont augmenté (+0,9 % après +0,0 % en avril). Les cours des denrées tropicales se sont redressés (+0,9 % après –3,5 %), notamment ceux du cacao (+1,5 %) et du robusta (+3,8 %). Les cours des céréales ont accéléré (+2,0 % après +0,2 %), avec le renchérissement du riz (+4,3 %) soutenu par la hausse des achats avant le ramadan. Mais le prix du maïs a continué de baisser (–2,7 %). Les cours des oléagineux ont également crû, mais à un rythme moins soutenu qu’en avril (+1,3 % après +5,8 %). À l’inverse, les cours du sucre ont de nouveau fortement chuté (–11,9 % après –7,1 %), grâce à l’amélioration de l’offre.
Prix du pétrole (Brent)
Source : Insee
Ensemble des matières alimentaires
Source : Insee
Matières premières importées (ensemble, hors énergie)
Source : Insee
Ensemble des matières industrielles
Source : Insee
Pétrole et dérivés
en dollar
Les prix sont en dollar par tonne sauf indication contraire.
Source : Insee
Prix
Variations (en %)
du dernier mois
du dernier mois
des 3 derniers mois
des 12 derniers mois
Prix du Brent en $/baril
111,5
–7,6
–5,7
–3,1
Prix du Brent en €/baril
87,1
–4,9
–2,5
8,6
Supercarburant
1021,5
–12,3
–2,6
–4,7
Gazole-fioul domestique
933,8
–7,1
–7,1
–0,4
Fioul lourd
626,7
–7,7
–7,9
3,8
Naphta
882,2
–14,8
–14,1
–10,8
Matières premières importées (hors énergie) en devises
En avril, le prix du pétrole en dollars a reculé (–3,1 % après +5,3 % en mars). Il s’est établi à 120,7 $ le baril de Brent. De même, les prix en devises des matières premières hors énergie importées en France se sont repliés (–1,3 % après +0,5 % en mars).
Le prix du pétrole baisse
En avril, le prix en dollars du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) s’est replié (–3,1 % après +5,3 % en mars). En euros, la baisse du prix du baril a été légèrement moins marquée (–2,7 % après +5,5 %), du fait de la dépréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (–0,4 %). Cette baisse intervient après une hausse continue et soutenue du prix du pétrole depuis janvier.
Le recul des prix des matières premières industrielles s’accentue
En avril, les prix en devises des matières premières industrielles ont continué de baisser (–2,0 % après –0,7 % en mars). D’une part, le repli des prix des matières premières minérales s’est renforcé ( –2,6 % après –1,6 %). Les cours des métaux non ferreux ont fortement chuté (–4,0 % après –1,8 %), notamment ceux de l’aluminium (–6,3 %), du nickel (–4,3 %) et du cuivre (–2,3 %). Parallèlement, les cours des métaux précieux ont de nouveau baissé (–2,9 % après –3,2 %), principalement ceux de l’or (–1,4 %) et de l’argent (–4,3 %).
D’autre part, les prix des matières premières agro-industrielles ont légèrement fléchi (–0,2 % après +2,1 %), sous l’effet de la baisse des prix du caoutchouc naturel (–1,8 %) et des cours des fibres textiles naturelles (–0,3 %), notamment ceux de la laine (–5,7 %). Les cours des bois sciés des conifères se sont stabilisés (+0,0 % après +6,3 %), tandis que ceux de la pâte à papier se sont légèrement appréciés (+0,3 % après +0,0 %).
Les prix des matières premières alimentaires se stabilisent
En avril, les prix en devise des matières premières alimentaires sont stables (+0,0 % après +2,8 % en mars). En effet, les cours des céréales se sont repliés (+0,1 % après +4,1 %), du fait du ralentissement des prix du riz (+1,5 % après +5,4 %) et de la baisse des prix du maïs (-2,6 %). Parallèlement les cours des denrées tropicales ont continué de chuter (–3,5 % après –2,1 %), notamment ceux du cacao (–4,6 %) et de l’arabica (–4,0 %). Les cours du sucre (–7,1 %) et de la viande bovine (–4,2 %) ont également baissés. À l’inverse, les cours des oléagineux ont continué de croître, bien qu’à un rythme moins soutenu qu’en mars (+5,8 % après +7,4 %). C’est notamment le cas du tourteau de soja (+7,7 % après +10,8 %) et de l’huile de palme (+4,9 % après +5,3 %).
Prix du pétrole (Brent)
Source : Insee
Ensemble des matières alimentaires
Source : Insee
Matières premières importées (ensemble, hors énergie)
Source : Insee
Ensemble des matières industrielles
Source : Insee
Pétrole et dérivés
en dollar
Les prix sont en dollar par tonne sauf indication contraire.
Source : Insee
Prix
Variations (en %)
du dernier mois
du dernier mois
des 3 derniers mois
des 12 derniers mois
Prix du Brent en $/baril
120,7
–3,1
8,2
–2,4
Prix du Brent en €/baril
91,7
–2,7
6,0
7,2
Supercarburant
1164,3
0,6
19,4
2,1
Gazole-fioul domestique
1004,8
–2,0
5,7
–1,8
Fioul lourd
678,8
–2,5
3,5
7,5
Naphta
1035,2
–2,9
9,5
–1,8
Matières premières importées (hors énergie) en devises
En mars, le prix du pétrole en dollars a continué de progresser (+5,3 % après +6,1 % en février). Il s’est établi à 124,5 $ le baril de Brent. Les prix en devises des matières premières hors énergie importées en France se sont stabilisés (+0,5 % après +2,8 % en février).
Le prix du pétrole en dollars continue d’augmenter
En mars, le cours en dollars du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) a légèrement ralenti (+5,3 % après +6,1 %). En euros, le prix du baril a accéléré (+5,5 % après +3,3 %), soutenu par la dépréciation modérée de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (–0,2 %). Toutefois, sur les trois derniers mois le prix du pétrole a fortement augmenté, de 15,2 % en dollars et de 14,7 % en euros.
Les prix des matières premières industrielles importées reculent
En mars, les prix en devises des matières premières industrielles ont reculé (–0,7 % après +3,0 %). En effet, les prix des matières premières minérales se sont repliés (–1,6 % après +3,2 %) et les cours des métaux non ferreux ont diminué (–1,8 % après +3,5 %), principalement ceux du nickel (–8,6 % après +3,2 %), du plomb (–3,0 % après +1,5 %) et du titane (–2,4 % après +2,4 %). Les cours des métaux précieux ont également baissé (–3,2 % après +7,9 %), notamment ceux de l’or (–4,0 % après +5,2 %) et de l’argent (–3,5 % après +11,0 %).
Toutefois, les prix des matières premières agro-industrielles ont poursuivi leur hausse (+2,0 % après +2,3 %). En effet, les cours des bois sciés des conifères ont enregistré une nouvelle hausse (+6,3 % après +4,0 %), alors que ceux de la pâte à papier (+0,0 % après –0,3 %) et du caoutchouc naturel (+1,0 % après +5,0 %), se sont stabilisés. À l’inverse, les cours des fibres textiles naturelles ont reculé (–1,5 % après +0,4 %), avec la poursuite de la baisse du prix du coton (–1,4 % après –0,4 %).
Les prix des matières premières alimentaires sont de nouveau en hausse
En mars, les prix des matières premières alimentaires en devises ont continué de progresser (+2,8 % après +2,5 %). En effet les cours des oléagineux ont encore accéléré (+7,4 % après +3,9 %), les cours du tourteau de soja (+10,8 %), de la fève de soja (+7,6 %) et de l’huile de palme (+5,3 %) enregistrant de fortes hausses. Les prix de la viande bovine ont poursuivi une hausse modérée (+2,1 % après +4,3 %) et ceux des céréales ont accéléré (+4,1 %) du fait du renchérissement du riz (+5,4 %). À l’inverse, les cours des denrées tropicales se sont repliés (–2,1 %) sous l’effet de la forte baisse de l’arabica (–10,9 %), ainsi que les cours du sucre (–0,6 % après +3,5 %).
Prix du pétrole (Brent)
Source : Insee
Ensemble des matières alimentaires
Source : Insee
Matières premières importées (ensemble, hors énergie)
Source : Insee
Ensemble des matières industrielles
Source : Insee
Pétrole et dérivés
en dollar
Les prix sont en dollar par tonne sauf indication contraire.
Source : Insee
Prix
Variations (en %)
du dernier mois
du dernier mois
des 3 derniers mois
des 12 derniers mois
Prix du Brent en $/baril
124,5
5,3
15,2
8,7
Prix du Brent en €/baril
94,2
5,5
14,7
15,4
Supercarburant
1157,4
10,4
26,1
10,0
Gazole-fioul domestique
1024,8
2,0
10,7
5,4
Fioul lourd
696,4
2,3
14,9
18,4
Naphta
1066,2
3,9
21,9
8,9
Matières premières importées (hors énergie) en devises
En février, le prix du pétrole en dollars a accéléré (+6,1 % après +3,2 % en janvier). Il s’est établi à 118,3 $ le baril de Brent. La hausse des prix en devises des matières premières hors énergie importées en France se poursuit (+2,8 % après +1,7 % en janvier).
Le prix du pétrole en dollars accélère
En février, le prix en dollars du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) a accéléré (+6,1 % après +3,2 %). En euros, le prix du baril a crû moins fortement (+3,3 % après +5,2 %), du fait de l’appréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (+2,6 %).
Les prix des matières premières industrielles importées continuent d’augmenter
En février, les prix en devises des matières premières industrielles ont accéléré (+3,0 % après +1,5 %). La hausse des prix des matières premières minérales s’est poursuivie (+3,2 % après +2,8 %) et les cours des métaux non ferreux ont ralenti (+3,5 % après +6,0 %), principalement ceux de l’aluminium (+2,8 % après +6,1 %), du nickel (+3,2 % après +9,1 %) et du cuivre (+4,7 % après +6,3 %). Mais les cours des métaux précieux ont crû fortement (+7,9 % après +1,8 %), notamment ceux de l’argent (+11,0 % après +1,2 %) et de l’or (+5,2 % après +0,2 %).
D’autre part, les prix des matières premières agro-industrielles se sont redressés (+2,4 % après –2,2 %). En effet, les cours des bois sciés des conifères (+4,0 % après +2,2 %) et du caoutchouc naturel (+5,0 % après +2,0 %) ont accéléré. Les cours des fibres textiles naturelles se sont stabilisés (+0,4 % après +3,2 %), avec la baisse du prix du coton (–0,4 % après +6,2 %).
Les prix des matières premières alimentaires sont de nouveau en hausse
En février, les prix des matières premières alimentaires en devises ont continué de progresser (+2,2 % après +2,6 %). En effet les cours des oléagineux ont accéléré (+4,3 % après +3,4 %), de même que ceux du sucre (+3,5 % après +2,7 %) et de la viande bovine (+4,3 % après +2,4 %). Les cours des céréales se sont cependant repliés (–1,4 % après +6,6 %) : les prix du maïs ont ralenti (+1,5 % après +4,8 %) et ceux du riz ont de nouveau baissé (–2,9 %).
Prix du pétrole (Brent)
Source : Insee
Ensemble des matières alimentaires
Source : Insee
Matières premières importées (ensemble, hors énergie)
Source : Insee
Ensemble des matières industrielles
Source : Insee
Pétrole et dérivés
en dollar
Les prix sont en dollar par tonne sauf indication contraire.
Source : Insee
Prix
Variations (en %)
du dernier mois
du dernier mois
des 3 derniers mois
des 12 derniers mois
Prix du Brent en $/baril
118,3
6,1
6,8
14,3
Prix du Brent en €/baril
89,3
3,3
9,3
17,9
Supercarburant
1048,3
7,5
13,5
19,5
Gazole-fioul domestique
1005,1
5,7
3,2
14,2
Fioul lourd
680,8
3,8
8,3
26,0
Naphta
1026,7
8,6
18,6
16,9
Matières premières importées (hors énergie) en devises
base 100 en 2000
Source : Insee
Indices
Variations (en %)
du dernier mois
du dernier mois
des 3 derniers mois
des 12 derniers mois
Alimentaires
249,8
2,2
1,4
–10,3
Denrées tropicales
236,2
0,0
–4,0
–23,5
Oléagineux
271,3
4,3
5,7
–9,5
Céréales
304,0
–1,4
0,4
4,9
Sucre
305,5
3,5
1,5
–21,7
Viande bovine
170,4
4,3
6,6
9,9
Industrielles
238,3
3,0
3,0
–15,0
Agro-industrielles
145,3
2,4
–1,2
–16,8
Fibres textiles naturelles
210,4
0,4
–4,2
–47,5
Caoutchouc naturel
456,0
5,0
5,9
–30,1
Cuirs
98,8
10,0
3,1
–13,5
Pâte à papier
123,6
–0,3
–10,5
–11,6
Bois sciés tropicaux
147,6
0,0
–0,5
–4,1
Bois sciés de conifères
102,5
4,0
14,5
–8,7
Minérales
288,0
3,2
4,4
–14,5
Minerai de fer
487,5
0,0
–6,7
–23,5
Métaux non ferreux
255,4
3,5
8,4
–15,3
Métaux précieux
455,1
7,9
2,9
13,4
Ensemble
232,8
2,8
2,3
–13,5
Rapides Informations
n° 67 - 13 mars 2012
Prix du pétrole et des matières premières importées - février 2012
Londres: Les cours du pétrole poursuivent leur hausse mercredi, après un début de semaine mouvementé, en raison d'une baisse surprise des réserves commerciales...
Washington: Les cours du pétrole ont légèrement reculé mardi, après avoir progressé en début de journée, poursuivant le mouvement de décrochage entamé...
Paris: La major américaine de l'énergie Exxon Mobil a déclaré qu'elle allait acquérir Pioneer Natural Resources dans le cadre d'une opération évaluée à 59,5 milliards de dollars, afin de plus que doubler sa présence dans le bassin permien, la plus grande zone de schiste des États-Unis. Une fois l'opération réalisée, il s'agirait de la plus importante acquisition d'Exxon depuis celle de Mobil en 1998, qui s'élevait à 81 milliards de dollars. Voici les principales opérations réalisées dans le secteur mondial du pétrole et du gaz depuis les années 2000.
Le pétrole est la matière première par excellence de ces 150 dernières années... Cet or noir qui a permis l'incroyable évolution moderne que nous connaissons dans nos vies de tous les jours autant dans l'industrie que dans le transport, pour ne citer qu’eux. Essentiel à notre niveau de vie, rare car limité, donc cher, le pétrole n’en demeure pas moins la ressource primordiale vers la transition énergétique nouvellement entamée.Ne vous y trompez pas : le baril n’a pas fini de surprendre dans les années à venir, tant dans ses niveaux de prix...
Dans le secteur économique, le pétrole constitue la matière première incontournable puisqu’il assure le bon fonctionnement de l’agriculture, des transports, des industries et bien d’autres. C’est pour cette raison qu’il est très échangé partout dans le monde avec ses dérivés tels que l’essence, le gazole, le fioul… Les principaux pays producteurs de pétrole proviennent généralement du Moyen-Orient et de l’Amérique du nord. Découvrez ci-dessous le classement mondial des plus grands producteurs de pétrole, basé sur les dernières données statistiques de BP en 2022, l’une des plus grandes compagnies pétrolières au monde.
Analyse: Le marché pétrolier mondial fait face à une conjoncture marquée par des incertitudes croissantes et des perspectives économiques contrastées. Alors…