Dubai: La production de pétrole saoudienne, réduite de moitié après des attaques de drones des Houthis yéménites samedi contre deux installations stratégiques de la compagnie pétrolière Aramco, ne devrait pas revenir à la normale avant "des semaines plutôt que des jours", a déclaré dimanche à Reuters une source au fait de la situation.Reconnaissant le sérieux des attaques, qui ont notamment visé le plus grand site mondial de transformation de brut, les autorités de Ryad n'ont avancé aucun délai avant la reprise totale de la production.
Selon le ministre de l'Energie, le prince Abdoulaziz ben Salman, cité samedi par l'agence officielle SPA, 5,7 millions de barils par jour sont concernés par l'interruption partielle, soit près de la moitié de la production saoudienne, ou 5% du commerce quotidien mondial du pétrole.
Les États-Unis ont imputé les attaques à l'Iran. Elles ont été revendiquées par des alliés de Téhéran, les rebelles yéménites Houthis, contre lesquels l'Arabie saoudite et ses alliés arabes sunnites interviennent militairement depuis 2015.
Londres: L'Irak et le Kazakhstan vont procéder à des réductions supplémentaires de leur production de pétrole pour compenser le dépassement de leurs...
Ryad: L'Arabie saoudite a transféré jeudi une nouvelle tranche d'actions du géant pétrolier saoudien Aramco, représentant 8% du capital, à des entreprises...
Jeudi 25 avril 2024 Selon Reuters, les revenus tirés du pétrole et du gaz pour la Russie devraient afficher une hausse de 30 % en 2024 par rapport à l'année précédente.
Le pic pétrolier est un sujet d'une importance cruciale pour notre avenir énergétique. Il se réfère au moment où la production de pétrole mondiale atteint son sommet avant de décliner de manière irréversible. La question de savoir si nous sommes en train de manquer de pétrole est étroitement liée à ce concept.
Washington: La guerre entre Israël et le Hamas, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre, pourrait provoquer un nouveau choc de prix sur les matières premières, a alerté lundi la Banque mondiale (BM), dans son dernier rapport qui y est consacré.
Paris: Morgan Stanley a revu à la hausse ses prévisions trimestrielles pour les prix du pétrole Brent en 2023 et 2024, attribuant cette révision à un déséquilibre de l'offre provoqué par la prolongation des réductions de production de l'Arabie saoudite et de la Russie.